Pour qui ? Pour quoi ?
Le shiatsu entreprend de ré-équilibrer l’énergie circulant dans le corps de la personne traitée par des pressions des mains et des doigts sur les trajets des méridiens énergétiques similaires aux méridiens d’acupuncture.
Le shiatsu reste une activité de bien être. Même si il peut avoir un effet très positif sur la santé globale, ce n’est pas une activité thérapeutique. Même si il est très en lien avec les principes de la Médecine Chinoise, ce n’est pas une médecine parallèle. Certains pratiquants occidentaux parlent d’« acupressure ».
Le shiatsu s'adresse à tous. La façon de pratiquer peut être adaptée en fonction de l'âge, de pathologies ou de handicaps éventuels.
Nul besoin d'attendre d'être en grande difficulté pour recevoir un shiatsu. En Asie, dans l'esprit de la médecine chinoise, le shiatsu est utilisé préventivement, pour développer un bien-être général ou anticiper des moments difficiles (examens, compétitions, voyages...)
Le shiatsu peut agir à des niveaux et des profondeurs variés. Il est très recommandé pour les problèmes de tensions musculaires, de terrains inflammatoires, de problèmes digestifs chroniques ou ponctuels, pour les problèmes d'insuffisances respiratoires, ou les problèmes circulatoires. Il est aussi efficaces pour accompagner les problèmes d'ordres plus énergétiques, les états d'insomnies chroniques, de stress, de suractivité, les syndromes de douleurs chroniques.
Le shiatsu ne présentent pas de contre-indications majeures, il est compatible avec des séances de kinésithérapie ou d’ostéopathie rapprochées. Il n'est proscrit que dans les cas de développements cancéreux actifs.
En tant que praticien de l'école Iokai, je me conforme à la chartre de déontologie de mon école.